Envoyé par
Léa
Fougères flottent, nuages errent
Les fougères flottent, les nuages errent,
Chéri qui es loin, j'attends ton retour.
Les fougères flottent, les nuages errent,
Les oiseaux chantent, les poissons nagent,
*Emmenant vers toi… un, deux, trois… messages d’attente et d’amour,
Pourquoi aucune ombre de toi ? ---> Emmènes moi avec toi...
Un croissant s’accroche dans le ciel toute la nuit,
La lune a chu à hauteur de tête, oh chéri
Combien tu me manques !
La rosée tombe, la nuit décline, la lune s'en va,
La branche de bambou suspendue à l'entrée
Se balance dans le vent, je continue à attendre,
Pourquoi aucune ombre de toi ?
Mes regards vont chaque jour là-bas,
Oh chéri, je t'attends toujours, à m'épuiser. --> Oh chéri, je m'épuise à t'attendre
Combien je guette tes nouvelles !
Les étoiles tombent, les fleurs se fanent,
Celui qui est parti loin là-bas,
Pense-t-il à celle qui s'assoit regarder des ailes sauvages ?
Pourquoi aucune ombre de toi ?
Mes pensées vont chaque nuit à toi, --> Chaque nuit, mes pensées sont pour toi
Oh chéri, je t’attends ainsi, à dépérir. --> Oh Chéri, je t'attends jusqu'à me voir dépérir
Combien tu me manques !
Oiseaux, transmettez-lui mon petit message :
Celui qui est parti loin là-bas,
Pense-t-il à celle qui s'assoit regarder des ailes sauvages ?
Pourquoi aucune… aucune ombre de toi ?
* Cette phrase est le pur fruit de mon déchiffrage. En fait, le sens et le sujet du verbe “ngậm” m’échappe complètement.