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Discussion: Suspension de la signature de contrats d'exportation de riz

  1. #1
    Avatar de NoiVongTayLon
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    Par défaut Suspension de la signature de contrats d'exportation de riz

    04/04/2008 -- 9:45 PM

    Hanoi, 4 avril (AVI)

    L'association des vivres du Vietnam (VFA) vient de notifier à ses entreprises membres la poursuite de la suspention de la signature de nouveaux contrats d'exportation de riz jusqu'en juin, suite à une requête en ce sens du Premier ministre datant du 1er avril.

    Ce dernier a demandé le 25 mars précédent de maintenir les exportations de riz de 2008 à hauteur de 3,5 millions ou 4 millions de tonnes afin d'assurer la sécurité alimentaire nationale.

    Les exportations de riz du Vietnam ont connu, depuis le début de l'année, une forte croissance. Le prix du riz à 5% de brisures est monté en mars à 410 dollars la tonne, soit une hausse de 10 dollars par rapport à février. Récemment, le riz vietnamien s'est exporté plus cher aux Philippines, à 750-760 dollars la tonne.

    L'année passée, plus de 4,5 millions de tonnes de riz vietnamien ont été exportés, à un prix moyen de 309 dollars la tonne.

    La situation réelle s'avère positive pour les exportations de riz, cependant le plus important défi consiste à garantir la sécurité alimentaire nationale et d'assurer le niveau de vie de la population.

    Selon des experts, le prix du riz exportable devrait encore monter du fait que plusieurs nations telles que l'Inde, le Pakistan ou la Thaïlande ont réduit leur production ou suspendu leurs exportations par peur d'une éventuelle pénurie de vivres. Cependant, les Philippines, l'Indonésie, la Chine et nombre de pays africains augmenteront leurs importations pour compenser la baisse de leurs productions intérieures de blé et de maïs.

    Durant les deux premiers mois de cette année, les exportations de riz du pays ont augmenté de 46,8% en quantité et de 78% en valeur en glissement annuel, pour atteindre respectivement 381.000 tonnes et 150 millions de dollars.


    AVI

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  3. #2
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    Citation Envoyé par NoiVongTayLon Voir le message
    04/04/2008 -- 9:45 PM

    Hanoi, 4 avril (AVI)

    ...Les exportations de riz du Vietnam ont connu, depuis le début de l'année, une forte croissance. Le prix du riz à 5% de brisures est monté en mars à 410 dollars la tonne, soit une hausse de 10 dollars par rapport à février. Récemment, le riz vietnamien s'est exporté plus cher aux Philippines, à 750-760 dollars la tonne.
    .....La situation réelle s'avère positive pour les exportations de riz, cependant le plus important défi consiste à garantir la sécurité alimentaire nationale et d'assurer le niveau de vie de la population.

    Selon des experts, le prix du riz exportable devrait encore monter du fait que plusieurs nations telles que l'Inde, le Pakistan ou la Thaïlande ont réduit leur production ou suspendu leurs exportations par peur d'une éventuelle pénurie de vivres. Cependant, les Philippines, l'Indonésie, la Chine et nombre de pays africains augmenteront leurs importations pour compenser la baisse de leurs productions intérieures de blé et de maïs.

    Durant les deux premiers mois de cette année, les exportations de riz du pays ont augmenté de 46,8% en quantité et de 78% en valeur en glissement annuel, pour atteindre respectivement 381.000 tonnes et 150 millions de dollars.

    AVI
    Je pense que le dossier du riz est un dossier vital et explosif à suivre de très près dans les mois à venir...

    J'ai du mal à comprendre la position actuelle du gouvernement Vietnamien!!

    S'agit-il:
    - officiellement d'un blocage total des exportations, comme annoncé fin 2007.
    - d'un "maintien des exportations de riz au plafond des années 2006 et 2007.
    - ou, compte tenu des hausses très fortes du prix du riz, d'une augmentation "déguisée et tolérée officeusement" de ces exporations pour faire rentrer des devises!!!

    Visiblement .. il y a poursuite des exportations!!!

    Voici un article très intéressant sur ce qui se passe en Afrique .. et ce que celà peut donner quand il y a un dérapage sur ce genre de "culture vivrière et vitale"

    Le Monde.fr : Imprimez un élément

    L'Afrique piégée par la flambée des prix des aliments
    LE MONDE | 04.04.08 | 14h15 •


    a rue africaine ne parle que de cela : les prix des denrées quotidiennes sont devenus fous.En quelques mois, la conjonction des hausses du blé, du riz, de l'huile sur les marchés mondiaux, de médiocres récoltes locales et l'absence de contrôle des prix, a accru les tensions sociales et compromis la stabilité politique.
    Spectaculaire dans les villes africaines mais prégnante aussi en Asie, la flambée des prix a confirmé les propos de Jacques Diouf, le directeur général de l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) prophétisant, dès octobre 2007, des "émeutes de la faim" alors que le prix moyen d'un repas de base a augmenté de 40 % en une année."Beaucoup de gens ne mangent plus qu'un plat par jour",entend-on à Dakar. "Avec 1 500 francs CFA (2,25 euros) pour nourrir ma famille, je ne sais plus quoi faire", dit une ménagère sur un marché de Bamako, au Mali.
    De Douala (Cameroun) à Abidjan (Côte d'Ivoire) et du Caire (Egypte) à Dakar (Sénégal), les manifestations de rues secouent les capitales africaines et contraignent les gouvernants à prendre des mesures pour contrôler les prix.
    "Gbagbo, marché est cher", "Gbagbo, on a faim", clamaient lundi 31 mars des femmes d'Abdidjan à l'adresse du président ivoirien. Des affrontements avec la police ont causé la mort d'au moins deux personnes. De fait, le prix du kilogramme de riz est passé de 250 à 650 francs CFA (de 0,22 à 0,97 euro) au cours de l'année ; celui de l'huile a augmenté de plus de 40 %. Le savon, le lait, la viande ont suivi, ce dont ne rendent pas compte les chiffres officiels (8 % d'inflation en 2007 pour l'ensemble du continent noir). "Dans les pays de la zone CFA, la hausse serait encore plus importante si le franc CFA n'était pas accroché à l'euro, une devise forte. Le coût des importations en est diminué d'autant. Les pays dont la monnaie est accrochée au dollar souffrent davantage", assure un économiste de l'Agence française de développement (AFD).
    Suppression des droits de douane et baisse de la TVA : le chef de l'Etat ivoirien, comme ses homologues camerounais, sénégalais ou égyptien confrontés eux aussi à la rue, s'est engagé à faire baisser les prix en jouant sur les rares leviers que l'Etat maîtrise encore. La recette n'est pas de celles que le Fonds monétaire international (FMI) et la Banque mondiale préconisent car elle pèse sur les finances publiques.
    Seule la gravité de la situation a amené les institutions financières à se montrer plus accommodantes vis-à-vis des pays en développement. Le gouvernement égyptien a ajouté une mesure plus radicale : l'interdiction temporaire d'exporter le riz produit localement.
    Aucun pays n'est à l'abri de troubles. A Dakar, une manifestation interdite "contre la vie chère" a dérapé dimanche 30 mars, trois mois après l'annonce de mesures pour contenir l'inflation : suppression de taxes sur le riz, création de "magasins témoin" exemplaires par la modération de leurs prix, diminution du traitement des ministres et même du chef de l'Etat. Les mesures n'ont pas produit l'effet escompté. "Les commerçants n'ont pas joué le jeu et l'Etat n'a plus les moyens de contrôler", constate Mamadou Barry, de l'ONG sénégalaise Enda.
    Au Maroc, secoué lui aussi par des manifestations "contre la vie chère", des rassemblements sont prévus en avril. La marge de manoeuvre du gouvernement est réduite. Cas rare en Afrique, une "caisse de compensation", prend partiellement en charge, au Maroc, la hausse des produits de première nécessité mais son enveloppe, augmentée dans le budget 2008, sera épuisée cet été.
    En Mauritanie où l'autosuffisance alimentaire ne dépasse pas 30 %, la situation est encore plus dramatique. Incapable de financer l'importation de denrées agricoles, le pays va connaître "une crise alimentaire sérieuse en 2008", a prévenu le Programme alimentaire mondial (PAM) des Nations unies.
    Au Burkina Faso, une commission parlementaire "contre la vie chère" a été installée après les manifestations de la mi-mars dans plusieurs villes . Les syndicats appellent à une "grève générale" les 8 et 9 avril pour réclamer des augmentations de salaires, le contrôle des prix et la réduction des taxes sur les carburants.
    Conseiller pour l'Afrique au Fonds monétaire international (FMI), Eugène Nyambal estime que la situation est le résultat des politiques prônées par les institutions financières internationales. Depuis des décennies elles ont encouragé les cultures d'exportation comme le coton, au détriment des cultures vivrières qu'il était plus avantageux d'acquérir, à bas prix, sur le marché international. Elles ont aussi poussé au démantèlement des structures de contrôle des prix. "La plupart de ces pays attendent des solutions de la Banque mondiale ou du FMI qui sont eux-mêmes dépassés par les évolutions récentes", ajoute-t-il, insistant sur les conséquences des troubles actuels sur les régimes en place qui n'ont pas développé de politique de soutien à l'agriculture locale. Jeudi soir, à l'occasion de la fête de l'indépendance, le président sénégalais Abdoulaye Wade a ainsi annoncé la relance d'un "programme national d'autosuffisance" agricole.
    La Banque mondiale a fait amende honorable dans son dernier rapport annuel et mis l'accent sur la renaissance des cultures vivrières. Il faudra des années pour modifier le modèle de développement.



    Philippe Bernard et Jean-Pierre Tuquoi

    Article paru dans l'édition du 05.04.08

  4. #3
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    Toujours dans lemonde.fr, cet autre article:

    Le Monde.fr : Imprimez un élément



    Matières premières agricoles : des hausses de prix explosives


    LE MONDE | 04.04.08 | 14h14 •


    n mort à Abidjan, en Côte d'Ivoire, mardi 1er avril, plusieurs dizaines de manifestants incarcérés au Sénégal lundi 31 mars, ainsi qu'au Burkina Faso, et au Cameroun dans les jours précédents : la liste s'allonge de protestations plus ou moins pacifiques "contre la vie chère".
    En 2007, c'était au Mexique et au Maroc.

    Car "la vie chère", c'est l'explosion des prix alimentaires sous l'effet de la hausse générale des matières premières agricoles : selon l'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO), ils ont augmenté de près de 40 % en 2007 au niveau mondial. Le blé (au plus haut depuis vingt-huit ans), le maïs, le riz, le soja, le colza ou l'huile de palme ont vu doubler, voire tripler, en deux ans leurs cours au grand dam des populations pauvres dont les revenus ne progressaient pas autant.
    Par la voix de son président, Robert Zoellick, la Banque mondiale a décrété, mercredi 2 avril, qu'il fallait de toute urgence lancer un "new deal" alimentaire pour éviter que 33 pays connaissent des troubles politiques et sociaux.

    Des causes multiples.
    Ces hausses sont dues à une demande accrue des pays émergents suscitée par la poussée démographique, mais aussi par une hausse du niveau de vie en Asie. Le monde agricole n'a pas pu suivre cette poussée de la demande, car les terres se raréfient en raison de l'urbanisation accélérée, en Chine comme en Inde, et à cause d'une productivité agricole toujours insuffisante dans les pays en développement. Le réchauffement climatique contribue à aggraver les phénomènes de sécheresse ou d'inondation qui détruisent les récoltes. La hausse des prix de l'énergie a provoqué celle des intrants (semences, pesticides, engrais).
    L'utilisation des céréales, de la canne à sucre et des oléagineux pour la fabrication d'agrocarburants a encore aggravé la situation. La spéculation a profité de ces tensions pour jouer les prix agricoles à la hausse et placer des capitaux sur ces marchés devenus un refuge contre les fluctuations du dollar ou contre l'inflation renaissante.
    Le riz, dont le prix a augmenté de 30 % en deux semaines - "du jamais-vu", selon Patricio Mendez del Villar, chercheur au Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad) -, est un cas d'école : ce petit marché subit les aléas climatiques de l'Australie et les réactions protectionnistes de la Thaïlande, du Vietnam, de l'Inde, de l'Egypte, etc.
    Les fonds d'investissement en ont donc fait un "véhicule" spéculatif de choix depuis trois mois. Aux Philippines, à Madagascar, au Sénégal, la colère populaire enfle.

    Des populations particulièrement fragiles.
    Contrairement aux pays occidentaux où la part de l'alimentation dans les revenus des ménages atteint 10 % à 20 %, elle est de 60 % à 90 % dans les pays pauvres. L'augmentation des cours des céréales y est par conséquent plus sensible, surtout pour les urbains, qui ne produisent pas de denrées.
    Les pays eux-mêmes sont plus ou moins fragilisés, selon leurs dépenses pour les importations de blé, de riz ou de maïs, bases de l'alimentation mondiale. Parmi eux, ceux que la FAO appelle les pays à faible revenu et déficit vivrier (PFRVD), souvent situés en Afrique, sont dans des situations très difficiles. Si le volume de leurs importations pourrait légèrement diminuer en 2008, du fait de bonnes récoltes, l'envolée des céréales et du fret devrait tout de même alourdir leur facture de 35 %, pour la deuxième année consécutive. Et de 50 % en Afrique, notamment au Maroc, au Lesotho et au Swaziland.

    Des remèdes à double tranchant.
    Pour sécuriser leurs approvisionnements en denrées à prix accessibles aux consommateurs, les Etats, quand ils en ont les moyens, ont pris différents types de mesures, en jouant sur la production, les exportations ou les importations. Mais les marchés agricoles étant très petits (seulement 17,2 % des volumes totaux de blé sont échangés sur le marché mondial, 12,5 % du maïs, 7 % du riz), chaque décision crée, par ricochet, davantage de tensions ailleurs.
    La FAO s'alarme de telles initiatives. "Ce n'est pas avec des décisions unilatérales que le problème se réglera", déclarait son directeur général, Jacques Diouf, fin janvier dans Le Monde, appelant les Etats à prendre des décisions stratégiques en matière d'alimentation mondiale, mais collectivement.

    Où produire plus ?
    Sachant que, dans les pays développés, la productivité et les surfaces sont à leur plus haut niveau, la Banque européenne pour la reconstruction et le développement (BERD) et la FAO ont appelé, mi-mars, les pays d'Europe de l'Est et de la Communauté des Etats indépendants - Russie, Ukraine et Kazakhstan particulièrement -, à doper leur production. Leur potentiel est important : près de 23 millions d'hectares de terres arables n'y sont plus utilisés pour l'agriculture depuis quelques années, et 13 millions pourraient être récupérés sans "coût environnemental majeur". Mais tout est question d'investissement des secteurs publics et privés.
    L'Amérique du Sud est l'autre réservoir foncier potentiel et pour toutes les cultures ; par exemple, on estime à quelque 20 millions d'hectares les superficies qui pourraient être mises en culture au Mato Grosso brésilien. Cette extension ne pourrait se faire qu'au détriment de la forêt amazonienne et devrait donner lieu à des débats sur les équilibres écologiques.


    Laetitia Clavreul et Alain Faujas

  5. #4
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    Il serait temps de comprendre que le prix bas du riz est basé sur une situation non équitable : Cultiver du riz nécessite 14 opérations difficilement mécanisables et était moins cher que les pommes de terre, pratiquement entièrement mécanisé. Actuellement, la situation est en train de se régulariser. Ce qui fait que les patates sont maintenant moins chères au Vietnam comme en France. Or les pays qui produisent du riz ont un développement économique dans les 10% par an. C'est a dire 100%, ca double, en 7 ans. Or pour le Vietnam, ça fait 25 ans que ça dure. Donc l'économie a eu une croissance x8 depuis les années 80. C'est une réalité que les Vietnamiens produisent 8 fois plus de richesses que dans les années 80. Et c'est maintenant normal que les salaires s'alignent si bien que le prix du riz atteindra bientôt des valeurs "japonaises"
    Comme dit un copain Viet Kieu : Maintenant nous nous entrainons a manger des patates 1 fois par semaine
    Dernière modification par DédéHeo ; 06/04/2008 à 14h31.

  6. #5
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    ...Comme dit un copain Viet Kieu : Maintenant nous nous entrainons a manger des patate 1 fois par semaine
    salut DDheo,
    A propos de riz, on dit souvent que le riz est pour le viêtnamien ce qu'est le pain pour le français. Donc pain quotidien=riz quotidien.
    Or j'ai remarqué (dans les repas chez des amis ou chez mes cousins) que le riz n'était pas systématiquement servi ,ou en tout cas, à la fin du repas comme pour le finir.
    Par contre en France (est-ce par nostalgie du pays) notre comportement culinaire fait qu'à chaque repas , souvent on sert le riz en même temps que les plats.
    Alors je m'interroge. Est-ce que c'est là un nouveau comportement des compatriotes au pays, ou cela a-t-il toujours existé.
    Toi qui connais à la fois les habitudes des uns et des autres et qui est presqu'un ancêtre maintenant au viêtnam, peux-tu me répondre?
    Ce qui est certain, c'est que ni la patate en France ni le khoai tay au Viêtnam ne deviendra mon riz quotidien.

  7. #6
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    Actuellement au Vietnam, les repas sans riz sont exceptionnels. Généralement des repas de fête ou avec des invités. Pour faire des économies, les pauvres achètent du riz de moindre qualité. Au contraire de la France, je n'ai vu personne manger des patates par économie.

  8. #7
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    Actuellement au Vietnam, les repas sans riz sont exceptionnels. Généralement des repas de fête ou avec des invités. Pour faire des économies, les pauvres achètent du riz de moindre qualité. Au contraire de la France, je n'ai vu personne manger des patates par économie.
    Xin chao anh Dédéo
    je me rappelle que lors de notre voyage au VN en 2001, dans les restaurants à Hanoï , nous n'avons jamais eu de très bon riz,(pas de riz parfumé que nous avons ici en France), pareil pour le nuoc mam, nous avons eu un espèce de sauce de soja un peu diluée( je tiens à préciser que les restaurants étaient detrès bons restaurants fréquentés par des vietnamiens et des touristes),quand j'ai eu l'occasion d'en discuter avec le personnel de l'hôtel où nous logions ils me répondaient que le bon riz étaient pour l'exportation.
    Chantalngoc

  9. #8
    Le Việt Nam est fier de toi Avatar de DédéHeo
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    Apres les Viet Kieu qui font monter les prix de l'immobilier, voila les Etrangers qui mangent tout notre riz. Je crois que les Vietnamiens sont forts pour l'invention de légendes urbaines et les Viet Kieu sont doués pour les propager !
    Bien sûr que dans les boutiques, il y a 10 sortes de riz. Les grains du riz vendu au Nord sont généralement plus petit que ceux vendu en France, donc de meilleur qualité. Pour te dépanner, je t'envoies un paquet de 5 kilo de riz parfumé Dien Bien Phu que j'ai acheté le mois dernier au supermarché Hapro à Hanoi 57 500 dong. Donc 11500 d/kg
    C'est vrai qu'entre le riz qui monte et le dollar qui descend, certains peuvent avoir des surprises.

  10. #9
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    Citation Envoyé par DédéHeo Voir le message
    Apres les Viet Kieu qui font monter les prix de l'immobilier, voila les Etrangers qui mangent tout notre riz. Je crois que les Vietnamiens sont forts pour l'invention de légendes urbaines et les Viet Kieu sont doués pour les propager !
    Bien sûr que dans les boutiques, il y a 10 sortes de riz. Les grains du riz vendu au Nord sont généralement plus petit que ceux vendu en France, donc de meilleur qualité. Pour te dépanner, je t'envoies un paquet de 5 kilo de riz parfumé Dien Bien Phu que j'ai acheté le mois dernier au supermarché Hapro à Hanoi 57 500 dong. Donc 11500 d/kg
    C'est vrai qu'entre le riz qui monte et le dollar qui descend, certains peuvent avoir des surprises.
    XIn chao anh Dédéo
    pourquoi prends tu la mouche comme ça?
    je te raconte ce qui m'est arrivé à Hanoï et ce qu'on m'a répondu.,maintenant si tu te trouves que c'est un propos mensonger, c'est bien à mon insu, et je te remercie d'avoir rectifié.
    nous sommes ici sur ce forum pour discuter, non?
    Chantalngoc

  11. #10
    Jeune Viêt Avatar de Orion
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    Au contraire de la France, je n'ai vu personne manger des patates par économie.
    Maintenant si^^
    le riz, les pâtes, les patates, j'en remplis mon quotidien, ça fait 12 des 14 repas d'une semaine^^ (m'enfin bon, suis étudiant aussi)

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