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Discussion: émission critique sur vaccin arte

  1. #1
    mai
    mai est déconnecté
    Amoureux du Viêt-Nam Avatar de mai
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    Par défaut émission critique sur vaccin arte

    bonjour, je viens de voir que la discussion sur le vaccin grippe A a été fermé.Cependant je tiens à signaler une émission dont j'ai pu suivre seulement la fin.Sans réouvrir le débat je veux la signaler
    Arte
    Rediffusions : 
04.12.2009 à 10:45
Grippe A, un virus fait débat
(Allemagne, 2009, 52mn)
NDR
Réalisateur: Jutta Pinzler, Stefanie Schwalfenberg

    Depuis que la grippe A (H1N1) a été déclarée pandémie mondiale par l'OMS, les gouvernements du monde entier se sont lancés dans des achats massifs de médicaments et de vaccins. Prévention ou hystérie ?
    Sur les 6,2 milliards d'individus que compte la planète, le virus de la grippe A (H1N1) en a tué jusqu'ici moins de 2 000 ; bien peu au regard des 100 000 personnes qui meurent de faim chaque jour dans le monde. Pourtant, avant même que les vaccins ne soient au point et que l'on soit certain de leur efficacité, des millions de doses ont été commandées par la plupart des pays. La dépense est-elle en rapport avec la menace réelle ? 
Et comment l'Organisation mondiale de la santé (OMS) établit-elle ses seuils d'alerte ? Le 29 avril dernier, elle a en effet décidé de passer au niveau 5 d'alerte pandémique, stade qui permet de débloquer des crédits pour développer des vaccins. Puis, en juin, elle a déclenché le niveau 6, en déclarant la grippe A (H1N1) pandémie mondiale. Quelle est l'influence de l'industrie pharmaceutique sur ces décisions ? Rejoignant la position de Jean Ziegler, membre du Conseil des droits de l'homme à l'ONU, Wolfgang Becker-Brüser, l'ancien directeur du service chargé de la circulation des médicaments à l'Office pour la santé de la République fédérale d'Allemagne, soulève la question des intérêts commerciaux en jeu. D'autres critiques s'inquiètent de l'efficacité du Tamiflu et des vaccins. Certains s'interrogent même sur leur nocivité. D'autres se demandent enfin si, sur fond de crise financière et économique, le phénomène de la grippe A ne viendrait pas à point nommé pour les hommes politiques de tous les continents.

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  3. #2
    Passionné du Việt Nam Avatar de pierrehuyen
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    Citation Envoyé par mai Voir le message
    Cependant je tiens à signaler une émission dont j'ai pu suivre seulement la fin.
    Bonjour Mai,

    Tout est là :http://www.forumvietnam.fr/forum-vie...on-h1n1-4.html

    Pierre.
    On n’est riche que de ses ami(e)s
    Rire et rêver, au-delà des frontières
    Tre già làm sao uốn
    http://www.facebook.com/group.php?gi...0516369&v=wall
    http://voyagesauvietnametailleurs.blogspot.com/








  4. #3
    Le Việt Nam est fier de toi Avatar de robin des bois
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    Si çà peut vous aider :

    - sur ce lien du monde.fr des 27 et 28/11/2009:

    1. La grippe A est-elle dangereuse ? - LeMonde.fr


    - 14 questions sur la vaccination


    1. La grippe A est-elle dangereuse ?


    2. Les vaccins sont-ils efficaces ?

    3. Restent-ils efficaces en cas de mutation du virus ?

    4. Quelles différences y a-t-il entre les quatre vaccins utilisés en France ?

    5. Ont-ils été suffisamment évalués ?

    6. Les adjuvants sont-ils dangereux ?
    .
    7. Quelle est la probabilité d'observer des effets indésirables après une vaccination ?
    .
    8. Quelle est l'incidence "habituelle" du syndrome de Guillain-Barré ?

    9. Comment les effets indésirables sont-ils détectés ?

    10. Y a-t-il un risque à avoir plusieurs vaccins ?

    11. Quelles sont les contre-indicactions formelles à la vaccination ?
    .
    12. A partir de quel âge faut-il faire vacciner les enfants ?

    13. Quel recours en cas de non-vaccination à l'école ?

    14. N'est-il pas trop tard pour se faire vacciner ?



    Marie-Béatrice Baudet et Paul Benkimoun

    Article paru dans l'édition du 29.11.09


    " bon ben c'est pas le tout, faut que j'rentre les vaches à la maison pour faire la traite"


    ps : si vous jugez les questions pertinentes, en tout ou partie, vous pouvez toujours consulter l'article complet au lien indiqué..
    Et estimez-vous heureux que ce ne soit pas en " 69 questions "!!

  5. #4
    Habitué du Việt Nam Avatar de Phúc_44
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    Citation Envoyé par robin des bois Voir le message
    Si çà peut vous aider :

    - sur ce lien du monde.fr des 27 et 28/11/2009:

    1. La grippe A est-elle dangereuse ? - LeMonde.fr
    Merci pour cet article très accessible, objectif et complet.

    A lire absolument.

    Bon dimanche.

  6. #5
    Nouveau Viêt Avatar de Mango65
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    Allez donc jouer a Vaccinator:
    Vaccinator
    Lorsque la bêtise gifle l'intelligence, alors l'intelligence a le droit de se comporter bêtement
    Avicenne

  7. #6
    Le Việt Nam est fier de toi Avatar de HUYARD Pierre
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    Par défaut article tres tres critique sur les vaccins

    http://www.humanite.fr/Grippe-A-Ils-ont-organise-la-psychose

    Grippe A : « Ils ont organisé la psychose »
    Révélation : président de la commission santé du Conseil de l’Europe, l’allemand Wolfgang Wodarg accuse les lobbys pharmaceutiques et les gouvernants.
    Il a obtenu le lancement d’une enquête de cette instance sur le rôle joué par les laboratoires dans la campagne de panique autour du virus. Entretien sans détour.
    Ex-membre du SPD, Wolfgang Wodarg est médecin et épidémiologiste. Il a obtenu à l’unanimité des membres de la commission santé du Conseil de l’Europe une commission d’enquête sur le rôle des firmes pharmaceutiques dans la gestion de la grippe A par l’OMS et les états..
    Qu’est ce qui a attiré vos soupçons dans la prise d’influence des laboratoires sur les décisions prises à l’égard de la grippe A ?
    Wolfgang Wodarg. Nous sommes confrontés à un échec des grandes institutions nationales, chargées d’alerter sur les risques et d’y répondre au cas où une pandémie survient. En avril quand la première alarme est venue de Mexico j’ai été très surpris des chiffres qu’avançait l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) pour justifier de la proclamation d’une pandémie. J’ai eu tout de suite des soupçons : les chiffres étaient très faibles et le niveau d’alarme très élevé. On en était à même pas mille malades que l’on parlait déjà de pandémie du siècle. Et l’alerte extrême décrétée était fondée sur le fait que le virus était nouveau. Mais la caractéristique des maladies grippales, c’est de se développer très vite avec des virus qui prennent à chaque fois de nouvelles formes, en s’installant chez de nouveaux hôtes, l’animal, l’homme etc. Il n’y avait rien de nouveau en soi à cela. Chaque année apparaît un nouveau virus de ce type « grippal ». 
En réalité rien ne justifiait de sonner l’alerte à ce niveau. Cela n’a été possible que parce que l’OMS a changé début mai sa définition de la pandémie. Avant cette date il fallait non seulement que la maladie éclate dans plusieurs pays à la fois mais aussi qu’elle ait des conséquences très graves avec un nombre de cas mortels au dessus des moyennes habituelles. On a rayé cet aspect dans la nouvelle définition pour ne retenir que le critère du rythme de diffusion de la maladie. Et on a prétendu que le virus était dangereux car les populations n’avaient pas pu développer de défense immunitaires contre lui. Ce qui était faux pour ce virus. Car on a pu observer que des gens âgés de plus de 60 ans avaient déjà des anticorps. C’est-à-dire qu’ils avaient déjà été en contact avec des virus analogues. C’est la raison pour laquelle d’ailleurs il n’y a pratiquement pas eu de personnes âgées de plus de 60 ans qui aient développé la maladie. C’est pourtant à celles là qu’on a recommandé de se faire vacciner rapidement.
    Dans les choses qui ont suscité mes soupçons il y a donc eu d’un côté cette volonté de sonner l’alerte. Et de l’autre des faits très curieux. Comme par exemple la recommandation par l’OMS de procéder à deux injections pour les vaccins. Ca n’avait jamais été le cas auparavant. Il n’y avait aucune justification scientifique à cela. I y a eu aussi cette recommandation de n’utiliser que des vaccins brevetés particuliers. Il n’existait pourtant aucune raison à ce que l’on n’ajoute pas, comme on le fait chaque années, des particules antivirales spécifiques de ce nouveau virus H1N1, « complétant » les vaccins servant à la grippe saisonnière. On ne l’a pas fait car on a préféré utiliser des matériaux vaccinales brevetés que les grands laboratoires avaient élaborées et fabriqué pour se tenir prêts en cas de développement d’une pandémie. Et en procédant de cette façon on n’a pas hésité à mettre en danger les personnes vaccinées.
    Quel danger ?
    Wolfgang Wodarg. Pour aller vite dans la mise à disposition des produits on a utilisé des adjuvants dans certains vaccins, dont les effets n’ont pas été suffisamment testés. Autrement dit : on a voulu absolument utiliser ces produits brevetés nouveaux au lieu de mettre au point des vaccins selon des méthodes de fabrication traditionnelles bien plus simples, fiables et moins coûteuses. Il n’y avait aucune raison médicale à cela. Uniquement des raisons de marketing.
    Comment a-t-on pu justifier de cela ?
    Wolfgang Wodarg. Pour comprendre il faut en revenir à l’épisode de la grippe aviaire de 2005 - 2006. C’est à cette occasion là qu’ont été définis les nouveaux plans internationaux destinés à faire face à une alarme pandémique. Ces plans ont été élaborés officiellement pour garantir une fabrication rapide de vaccins en cas d’alerte. Cela a donné lieu à une négociation entre les firmes pharmaceutiques et les Etats. D’un côté les labos s’engageaient à se ternir prêts à élaborer les préparations, de l’autre les Etats leur assuraient qu’ils leur achèteraient bien tout cela. Au terme de ce drôle de marché l’industrie pharmaceutique ne prenait aucun risque économique en s’engageant dans les nouvelles fabrications. Et elle était assurée de toucher le jack pot en cas de déclenchement d’une pandémie.
    Vous contestez les diagnostics établis et la gravité, même potentielle, de la grippe A ?
    Wolfgang Wodarg. Oui, c’est une grippe tout ce qu’il y a de plus normale. Elle ne provoque qu’un dixième des décès occasionnés par la grippe saisonnière classique. Tout ce qui importait et tout ce qui a conduit à la formidable campagne de panique à laquelle on a assisté, c’est qu’elle constituait une occasion en or pour les représentants des labos qui savaient qu’ils toucheraient le gros lot en cas de proclamation de pandémie.
    Ce sont de très graves accusations que vous portez là. Comment un tel processus a-t-il été rendu possible au sein de l’OMS ?
    Wolfgang Wodarg. Un groupe de personnes à l’OMS est associé de manière très étroite à l’industrie pharmaceutique.
    L’enquête du conseil de l’Europe va travailler aussi dans cette direction ?
    Wolfgang Wodarg. Nous voulons faire la lumière sur tout ce qui a pu rendre cette formidable opération d’intox. Nous voulons savoir qui a décidé, sur la base de quelles preuves scientifiques, et comment s’est exercé précisément l’influence de l’industrie pharmaceutique dans la prise de décision. Et nous devons enfin présenter des revendications aux gouvernements. L’objectif de la commission d’enquête est qu’il n’y ait plus à l’avenir de fausses alertes de ce genre. Que la population puisse se reposer sur l’analyse, l’expertise des instituions publiques nationales et internationales. Celles ci sont aujourd’hui discréditées car des millions de personnes ont été vaccinés avec des produits présentant d’éventuelles risques pour leur santé. Cela n’était pas nécessaire. Tout cela a débouché aussi sur une gabegie d’argent public considérable.
    Avez-vous des chiffres concrets sur l’ampleur de cette gabegie ?
    Wolfgang Wodarg. En Allemagne ce sont 700 millions d’euros. Mais il est très difficile de connaître les chiffres précis car on parle maintenant d’un côté de reventes de vaccins à des pays étrangers et surtout les firmes ne communiquent pas, au nom du principe du respect du « secret des affaires » les chiffres des contrats passés avec les Etats et les éventuelles clauses de dédommagements qui y figurent.
    Le travail de « lobying » des labos sur les instituts de santé nationaux sera-t-il aussi traité par l’enquête du conseil de l’Europe ?
    Wolfgang Wodarg. Oui nous nous pencherons sur l’attitude des instituts comme le Robert Koch en Allemagne ou Pasteur en France qui auraientt dû en réalité conseiller leurs gouvernements de façon critique. Dans certains pays des institutions l’ont fait. En Finlande ou en Pologne, par exemple, des voix critiques se sont élevées pour dire : « nous n’avons pas besoin de cela ».
    La formidable opération d’intox planétaire n’a-t-elle pas été possible aussi parce que l’industrie pharmaceutique avait « ses représentants » jusque dans les gouvernements des pays les plus puissants ?
    Wolgang Wodarg. Dans les ministères cela me paraît évident. Je ne peux pas m’expliquer comment des spécialistes , des gens très intelligents qui connaissent par cœur la problématique des maladies grippales, n’aient pas remarqué ce qui était en train de se produire.
    Que s’est-il passé alors ?
    Wolfgang Wodarg. Sans aller jusqu’à la corruption directe qui j’en suis certain existe, il y a eu mille manières pour les labos d’exercer leur influence sur les décisions. J’ai pu constater très concrètement par exemple comment Klaus Stöhr qui était le chef du département épidémiologique de l’OMS à l’époque de la grippe aviaire, et qui donc a préparé les plans destinés à faire face à une pandémie que j’évoquais plus haut, était devenu entre temps un haut cadre de la société Novartis. Et des liens semblables existent entre Glaxo ou Baxter, etc. et des membres influents de l’OMS. Ces grandes firmes ont « leurs gens » dans les appareils et se débrouillent ensuite pour que les bonnes décisions politiques soient prises. C’est à dire celles qui leur permettent de pomper le maximum d’argent des contribuables.
    Mais si votre enquête aboutit, ne sera-t-elle pas un appui pour les citoyens d’exiger de leurs gouvernements qu’ils demandent des comptes à ces grands groupes ?
    Wolfgang Wodarg. Oui, vous avez raison, c’est l’un des grands enjeux lié à cette enquête. Les Etats pourraient en effet se saisir de cela pour contester des contrats passés dans des conditions, disons, pas très propres. S’il peut être prouvé que c’est la prise d’influence des firmes qui a conduit au déclenchement du processus alors ils faudra les pousser à ce qu’ils demandent à être remboursés. Mais ça c’est uniquement le côté financier, il y a aussi le côté humain, celui des personnes qui ont été vaccinés avec des produits qui ont été insuffisamment testés.
    Quel type de risque ont donc pris, sans qu’ils le sachent, ces gens en bonne santé en se faisant vacciner ?
    Wolfgang Wodarg. Je le répète les vaccins ont été élaborés trop rapidement, certains adjuvants insuffisamment testés. Mais il y a plus grave. Le vaccin élaboré par la société Novartis a été produit dans un bioréacteur à partir de cellules cancéreuses. Une technique qui n’avait jamais été utilisée jusqu’à aujourd’hui.
    Pourquoi, je ne suis évidemment pas un spécialiste, mais comment peut-on prétendre faire un vaccin à partir de cellules malades ?
    Wolfgang Wodarg. Normalement on utilise des œufs de poules sur lesquels les virus sont cultivés. On a besoin en effet de travailler sur des cellules vivantes. Car les virus ne peuvent se multiplier que de cette manière et donc, par définition, les préparations antivirus qui vont avec. Mais ce procédé présente un gros défaut, il est lent, il faut beaucoup d’œufs. Et il est long et complexe sur le plan technique. Une autre technique au potentiel remarquable consiste à cultiver les virus sur des cellules vivantes dans des bio-réacteurs. Pour cela il faut des cellules qui croissent et se divisent très vite. C’est un peu le procédé que l’on utilise pour la culture du yaourt que l’on réalise d’ailleurs aussi dans un bio-réacteur. mais dans ce contexte la cellule a été tellement bouleversée dans son environnement et sa croissance qu’elle croît comme une cellule cancéreuse. Et c’est sur ces cellules au rendement très élevé que l’on cultive les virus. Seulement pour fabriquer le vaccin il faut extraire à nouveau les virus de ces cellules sur lesquelles ils ont été implantés. Et il peut donc se produire que durant le processus de fabrication du vaccin des restes de cellule cancéreuse demeurent dans la préparation. Comme cela se produit dans la fabrication classique avec les œufs. On sait ainsi que dans le cas d’une vaccination de la grippe classique des effets secondaires peuvent apparaître chez les personnes qui sont allergiques à l’ovalbumine que l’on trouve dans le blanc d’oeuf. Il ne peut donc pas être exclu que des protéines, restes d’une cellule cancéreuse présentes dans un vaccin fabriqué par bio-réacteur, engendrent une tumeur sur la personne vaccinée. Selon un vrai principe de précaution il faudrait donc, avant qu’un tel produit ne soit autorisé sur le marché, avoir la certitude à 100% que de tels effets sont réellement exclus.
    Et cela n’a pas été fait ?
    Wolfgang Wodarg. On ne l’a pas fait. L’AME ( Agence Européenne du Médicament), une institution sous la responsabilité du commissaire européen à l’économie, basée à Londres, qui donne les autorisations de mise sur le marché des vaccins en Europe, a donné son feu vert à la commercialisation de ce produit en arguant, en l’occurrence, que ce mode de fabrication ne constituait pas un risque « significatif ». Cela a été très différemment apprécié par de nombreux spécialistes ici en Allemagne et une institution indépendante sur le médicament, qui ont au contraire alerté et fait part de leurs objections. J’ai pris ces avertissements au sérieux. J’ai étudié le dossier et suis intervenu dans le cadre de la commission santé du Bundestag dont j’étais alors membre pour que le vaccin ne soit pas utilisé en Allemagne. J’ai fait savoir que je n’étais certainement pas opposé à l’élaboration de vaccins avec cette technique. Mais qu’il fallait d’abord avoir une garantie totale d’innocuité. Le produit n’a donc pas été utilisé en Allemagne où le gouvernement a résilié le contrat avec Novartis.
    Quel est le nom de ce vaccin ?
    Wolfgang Wodarg. Obta flu.
    Mais cela veut dire que dans d’autres pays européens comme la France le produit peut être commercialisé sans problème ?
    Wolfgang Wodarg. Oui , il a obtenu l’autorisation de l’AME et peut donc être utilisé partout dans l’Union Européenne.
    Quelle alternative entendez vous faire avancer pour que l’on échappe à de nouveaux scandales de ce type ?
    Wolfgang Wodarg. Il faudrait que l’OMS soit plus transparente, que l’on sache clairement qui décide et quelle type de relation existe entre les participants dans l’organisation. Il conviendrait aussi qu’elle soit au moins flanquée d’une chambre d’élue, capable de réagir de façon très critique où chacun puisse s’exprimer. Ce renforcement du contrôle par le public est indispensable.
    N’est ce pas la question d’un autre système capable de traiter une question qui relève en fait d’un bien commun aux citoyens de toute la planète qui affleure ?
    Wolfgang Wodarg. Pouvons nous encore laisser la production de vaccins et la conduite de ces productions à des organisations dont l’objectif est de gagner le plus possible d’argent ? Ou bien la production de vaccins n’est-elle pas quelque chose du domaine par excellence , que les Etats doivent contrôler et mettre en œuvre eux même ? C’est la raison pour laquelle je pense qu’il faut abandonner le système des brevets sur les vaccins. C’est à dire la possibilité d’une monopolisation de la production de vaccin par un grand groupe. Car cette possibilité suppose que l’on sacrifie des milliers de vies humaines, simplement au nom du respect de ces droits monopolistiques. Vous avez raison , cette revendication là a pris en tout cas pour moi l’aspect de l’évidence.
    Entretien réalisé par Bruno Odent

  8. #7
    Le Việt Nam est fier de toi Avatar de robin des bois
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    Citation Envoyé par HUYARD Pierre Voir le message
    http://www.humanite.fr/Grippe-A-Ils-ont-organise-la-psychose


    ..
    Qu’est ce qui a attiré vos soupçons dans la prise d’influence des laboratoires sur les décisions prises à l’égard de la grippe A ?



    Et vous avez le droit , vous, de réouvrir un débat sur le 1N1H ???

    (Parce que j'ai un stock d'infos en souffrance !!!)

    La "meilleure"- que j'attendais depuis longtemps- donnée subrepticement par l' Agence de veille sanitaire en pleines fêtes de Noël:

    -bilan des décès 1N1H au 31/12 : 192 décès

    - bilan annuel des grippes saisonnières : environ 2 500 décès en moyenne


    Voilà voilà ... la messe est dite , no comment


    sauf ce " propos incroyable" d'un Professeur , spécialiste du cancer :

    "le budget de cette mascarade est exactement le triple du coût du "plan Cancer pluriannuel " voulu par le président CHIRAC.


    Encore bravo et mes félicitations au couple SARKO-BACH'LO !!

    ...." Quant aux "cancéreux , ils n'ont qu'à faire du lobbying eux aussi !"

  9. #8
    Habitué du Việt Nam Avatar de Phúc_44
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    Citation Envoyé par robin des bois Voir le message
    Voilà voilà ... la messe est dite , no comment

    sauf ce " propos incroyable" d'un Professeur , spécialiste du cancer :

    "le budget de cette mascarade est exactement le triple du coût du "plan Cancer pluriannuel " voulu par le président CHIRAC.
    Rapidement, car on a tous déjà fait le tour de la question avec passion :

    Le dernier bilan de l'InVS chiffrait à 224 le nombre de décès (dont 35 chez des personnes sans facteur de risque connu). 1 116 hospitalisations en réanimation ou soins intensifs depuis le début de l’épidémie. 307 000 consultations pour infections respiratoires aiguës liées à la grippe A (H1N1) 2009 estimées par le Réseau des Grog en semaine 53 contre 398 000 en semaine 52. Même s'ils décroissent (heureusement pour nous), les chiffres restent toujours très important. 8 cas de résistance à l’oseltamivir (Tamiflu®) ont été rapportés en France métropolitaine. L'OMS maintient sa vigilance.
    Pour ceux qui aiment jouer de la calculatrice, je leur propose de calculer le coût pour la société des millions de consultations, de prescriptions de médicaments, d'arrêts de travail et des séjours en hospitalisation. Vous avez de quoi vous payez pas mal de campagne de vaccination avec ça.

    Je rappelle le principe de précaution, élémentaire en médecine, à tous ceux dont il est sorti de la tête. Les mesures qui ont été prises étaient les bonnes et donc seront reprises au besoin à la prochaine menace de pandémie grippale.
    Je vous laisse également cogiter dans un petit coin de votre tête aux conséquences sanitaires et politiques dans notre pays si le virus avait fait 50 000 morts et qu'aucun vaccin n'avait été commandé.
    Posez-vous les bonnes questions.

    L'art de la médecine, c'est de prévoir. Parce que la guérison de certaines maladies qu'on a pas su prévoir n'est pas toujours assurée (cf. cancer). C'est toujours beaucoup plus rassurant de sortir d'une visite médicale après avoir entendu : "c'est bon, tout va bien, revenez dans un an".
    Comme dans beaucoup de domaines, celui qui agit en conséquence et non par anticipation aura toujours une longueur de retard et cela pourrait se révéler embêtant quand la conséquence se paye en vies humaines.

    Pour ceux qui connaissent un peu la virologie, on sait que la menace d'une pandémie grippale comparable à celle de 1918 est permanente et inéluctable. Vous avez bien lu, c'est inéluctable ! Vous êtes vous demandé pourquoi il existe de nombreux observatoires qui étudient en permanence les virus grippaux ? C'est tout simplement pour donner l'alerte avant qu'il ne soit trop tard. C'est ce qu'il s'est passé cette année. Heureusement, nous avons eu la chance que le virus n'ait pas acquis la mutation qui l'aurait rendu plus mortel, car l'épidémie s'est très largement répandue dans notre pays.

    Vous avez donc compris que tout ceci n'avait rien d'une mascarade.
    Ce qui me fait une peu rire c'est que la recherche contre le cancer (sus-mentionnée) est majoritairement financée par des laboratoires pharmaceutiques (privés) et certainement pas par des capitaux publics qui sont proportionnellement infimes en comparaison. Actuellement, sont mises au point et testées dans nos CHU (publics) les thérapeutiques anti-cancéreuses de demain, dont des "vaccinations" (vous avez bien lu) contre les cellules tumorales. Et vous savez quel laboratoire finance la recherche de certains des vaccins ? Je vous le donne en mille : "GSK (GlaxoSmithKline)". Simple question : vous le refuseriez celui-ci ?

    J'espère vous éclairer un peu sur l'esprit (qui n'est pas le votre, j'en conviens) qu'il faut adopter quand on a la prétention de clamer haut et fort qu'on prend soin de la santé d'une population. Un médecin ne pourrait se payer le luxe de faire des constatations une fois confronté à ses manquements car il aurait déjà perdu sa crédibilité. Contrairement aux journalistes qui ne vivent l'actualité qu'au jour le jour et ne prennent aucun risque à la constater. Gardez bien cela en tête.

    Prévenir le plus possible (pour cela, la coopération des patients est indispensable), Soigner toujours et Guérir parfois.

    Je ne pense pas poster d'autres messages sur le sujet.
    Bonne après midi

  10. #9
    Le Việt Nam est fier de toi Avatar de robin des bois
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    Citation Envoyé par Phúc_44 Voir le message
    Vous avez donc compris que tout ceci n'avait rien d'une mascarade.
    Ce qui me fait une peu rire c'est que la recherche contre le cancer (sus-mentionnée) est majoritairement financée par des laboratoires pharmaceutiques (privés) et certainement pas par des capitaux publics qui sont proportionnellement infimes en comparaison. Actuellement, sont mises au point et testées dans nos CHU (publics) les thérapeutiques anti-cancéreuses de demain, dont des "vaccinations" (vous avez bien lu) contre les cellules tumorales. Et vous savez quel laboratoire finance la recherche de certains des vaccins ? Je vous le donne en mille : "GSK (GlaxoSmithKline)". Simple question : vous le refuseriez celui-ci ?
    ???? ??? ??? " les chimios sous protocole" de Gauducheau .. je connais assez bien, vous qui semblez Nantais !!!

    Et si les labos financaient toute la "recherche", pourquoi en particulier l'argent du Téléthon va-t-il également à cette " Recherche" svp, alors qu'un tas de "malades-adultes" rencontrent les pires difficultés matérielles (logement, assurances et prêts, relations banques.. etc etc)?

    (peut-etre qu'au passage il faudrait jeter un p'tit coup d'oeil sur le nombre de représentants des professiosn médicales et des labos qui siègent dans le bureau d'administration chargé de répartir les fonds collectés dans certains organismes de collecte de fonds !!!)

    - Cet article du Monde :




    Une grippe à 2 milliards d'euros

    LEMONDE.FR | 04.01.10 | 18h37 •




    n milliard et demi d'euros, c'est le coût de la campagne anti-grippe A. Sur son blog, le médecin et député socialiste de Paris Jean-Marie Le Guen s'en fait l'écho. La somme semble démesurée pour une campagne qui tourne à la déroute : seulement 4,5 millions de Français ont été vaccinés, le pic pandémique est passé, et le ministère de la santé se retrouve à stocker des dizaines de millions de vaccins dont la date de péremption approche. "Un échec", estime l'élu parisien, qui réclame la création d'une mission parlementaire pour faire le bilan de l'opération.

    Fustigeant une "politique gouvernementale hyperactive et anxiogène", déconnectée de "l'ampleur et la gravité de la pandémie", le député PS n'est pas le seul à dénoncer le coût de la campagne.

    Bernard Debré, député UMP et professeur de médecine, souligne également des "mesures disproportionnées".

    "DEUX VACCINS PAR PERSONNE, C'EST ABSURDE"
    L'Etat français a commandé 94 millions de vaccins "pour un montant de 869 millions d'euros", selon le ministère de la santé. Quatre laboratoires se sont partagé le marché hexagonal : le britannique GlaxoSmithKline a vendu à la France 50 millions de doses, le français Sanofi-Pasteur 28 millions, le suisse Novartis 16 millions et l'américain Baxter 50 000. Des dépenses faites au nom du principe de précaution, explique-t-on au gouvernement. Le ministère de la santé souligne toujours que l'évolution du virus est "imprévisible".
    Mais "acheter deux vaccins par personne, c'est absurde", tranche Bernard Debré, qui, dès l'été 2009, avait dénoncé le "catastrophisme" lié à l'épidémie de grippe A. "Dès juillet 2009 nous savions que les 4/5es des personnes touchées seraient sans symptôme" répond le professeur. "Aujourd'hui, 20 millions de Français ont été touchés sans même s'en rendre compte", estime-t-il.
    Pour l'équilibre des comptes de la Sécurité sociale, la pandémie de grippe A sera difficile à supporter. Selon un rapport sénatorial sur le projet de financement de l'Assurance-Maladie en 2010, le coût total pourrait atteindre 2,2 milliard d'euros. En effet, au coût de l'achat de vaccin s'ajoute la campagne de vaccination d'un montant de 35,8 millions d'euros, l'acquisition de respirateurs pour 5,8 millions d'euros, l'achat d'antiviraux pour 20 millions d'euros, 150,6 millions d'euros de masques, 41,6 millions d'euros de dépenses logistiques, 290 millions afin d'indemniser les personnels de santé réquisitionnés, 59,6 millions destinés aux frais d'information et à la campagne de communication.
    Il faut aussi compter 100 millions de "frais liés à l'organisation territoriale de la campagne de vaccination", selon ce rapport, et encore 375 à 752 millions d'euros de dépenses liées aux consultations de médecins, à la prescription de médicaments.

    "TROIS FOIS LA SOMME DU PLAN CANCER"
    "Résultat, nous avons 10 % des réserves mondiales de ce vaccin et un tiers des antiviraux (Tamiflu)", note Bernard Debré. Le plan anti-grippe A a coûté "plus que le déficit cumulé de tous les hôpitaux publics ou trois fois la somme allouée au plan cancer", souligne encore le député UMP de Paris.
    Au 29 décembre, la grippe A (H1N1) avait provoqué 198 décès en France, selon l'Institut national de veille sanitaire. "La grippe saisonnière fait pour sa part entre 2 000 et 6 000 victimes par an en France, 600 000 à travers le monde. Le nombre de personnes décédées de la grippe A sans pathologie associée se monte aujourd'hui à environ 35 personnes en France. Ces morts sont regrettables, souligne Bernard Debré, mais les mesures prises, disproportionnées."



    Eric Nunès
    Dernière modification par robin des bois ; 08/01/2010 à 17h39.

  11. #10
    Le Việt Nam est fier de toi Avatar de robin des bois
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    Et çà c'est vraiment ma " dernière couche de finition ou plutôt .. "de fixation".

    - sur ce lien :


    Pour Marc Gentilini, on assiste à une "pandémie de l'indécence" - LeMonde.fr




    - cet article :



    Pour Marc Gentilini, on assiste à une "pandémie de l'indécence"


    LEMONDE.FR | 06.08.09 | 20h18 •



    e professeur Marc Gentilini, spécialiste des maladies infectieuses, est membre de l'Académie de médecine et l'ancien président de la Croix-Rouge.


    Comment jugez-vous la gestion de la grippe A ?

    Le poids qu'on attribue à la grippe A est indécent par rapport à l'ensemble de la situation sanitaire dans le monde.
    C'est une pandémie de l'indécence.
    Quand je regarde la situation de la planète, j'ai honte de voir tout ce qui est entrepris pour éviter cette grippe dont on ne sait que peu de chose.

    Chaque semaine dans le monde, près de 200 000 enfants meurent de maladies. La plupart auraient pu être sauvés s'ils avaient eu accès à des médicaments ou à des programmes de prévention.
    Chaque année, 1 million de personnes meurent du paludisme dans l'indifférence quasi générale, dont 20 à 30 cas importés dans notre pays.

    La grippe A n'a provoqué qu'un décès discutable en France. Cette pauvre fille de 14 ans est probablement morte d'une autre cause. Mais un mort ici compte beaucoup plus que des milliers ou des millions ailleurs.
    Les pouvoirs publics ont quand même le devoir de prévoir les risques sanitaires...
    Il ne s'agit pas de jeter la pierre aux décideurs politiques qui sont piégés par leur "principe de précaution". Le désastre de la canicule de 2003, politiquement, les hante.
    Les recommandations de porter un masque, de se laver les mains ou de nettoyer les poignées de porte ne coûtent pas cher. Tout cela a été bien fait par les pouvoirs publics et cette campagne ne coûte pas cher. Parler de "grippette" [terme évoqué par le professeur Bernard Debré dans un entretien au Journal du dimanche] n'est pas sage. Pour l'instant c'est une grippette, mais pour demain, les pouvoirs publics ont raison d'envisager une dégradation sans céder au terrorisme sanitaire de certains "experts".


    Que pensez-vous de la possible campagne de vaccination ?
    La décision d'acheter massivement des vaccins dont on ne sait rien, pour 1 milliard d'euros, ne me paraît pas raisonnable. C'est une mesure qui est dans la démesure. Un milliard d'euros, c'est trois fois plus que l'aide de la France aux pays en développement !
    Que l'on décide de vacciner les populations à risque, les soignants, les pompiers et tous ceux qui doivent être mobilisés afin de rester disponibles au service de la collectivité, d'accord. Mais de là à vacciner tout le monde...
    On ne sait rien de l'efficacité de ce vaccin et de ses éventuels effets indésirables. La souche du virus est bénigne, mais si elle mute et devient maligne, le vaccin qui a été élaboré à partir de la source bénigne sera inefficace.

    L'industrie pharmaceutique a-t-elle exercé des pressions sur les autorités ?
    Je ne sais pas s'ils ont exercé une pression et si, le cas échéant, les autorités en ont été victimes. Je sais que c'est une très bonne affaire pour les producteurs de vaccins ! Ce sont des entreprises privées qui ont besoin de faire des bénéfices. Je l'accepte. Néanmoins, c'est vraiment trop onéreux, et il est évident que tout cela doit être renégocié. Par ailleurs, on n'a pas beaucoup songé à l'accès aux vaccins des pays du Sud. Or, en matière de pathologie infectieuse, nous sommes tous solidaires. La pandémie est pour tous !

    Est-ce le principe de précaution qui est en cause dans cet affolement ?
    Le principe de précaution, en soi, est une bonne chose. Il faut évidemment faire le maximum pour éviter le pire. L'OMS donne l'impression de vouloir se racheter d'erreurs antérieures. Elle a commis un déni dramatique d'appréciation du sida qui a été, au début, sous-estimé, notamment en Afrique. Depuis, elle a peur de commettre la même erreur. A chaque nouvelle alerte, avec le SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère) ou la grippe aviaire par exemple, on nous a préparés au pire. Heureusement, ça a tourné court, mais à la longue, on risque de désarmer son attention.
    On nous a prédit le pire, mais l'opinion publique garde son calme. Elle enregistre, elle constate que la grippe A n'est pas très symptomatique et que les formes dites graves se comptent sur les doigts d'une main en France, même si on nous promet un automne douloureux.
    On a d'un côté surestimé des situations qui se sont révélées peu graves, alors que trop de situations explosives, comme le sida ou le paludisme, restent sous-estimées.


    Propos recueillis par Jonathan Parienté




    ps : vous avez bien retenu la date svp ? 6 août 2009 !!!!






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