On ne doit jamais répondre " NON " : on dit donc toujours "Oui"... ...
même si çà veut dire " Non !!
Fastoche : c'est pas difficile à comprendre !!!
Voilà , voilà, çà vous va !!!
On n’est riche que de ses ami(e)s
Rire et rêver, au-delà des frontières
Tre già làm sao uốn
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oui, meme qu'a hue on dit toujours da khong..(oui..non) deroutant...
Pour le fait de ne pas s'assoir sur la table, je dirais plutot ne pas marcher sur la natte qui est utilisee pour mettre les couverts et nourriture . car on mange souvent par terre...
Par contre tu peux toujours danser sur la table :-)
Peintures lacquées du Vietnam sur www.galerie-xc.fr
Je dirais même plus ... les gens du Centre utilise le " da ..." à chaque début de phrases en réponse à autrui.
- chào ông par exemple = un simple bonjour
- nous au Centre nous disons " da chào ông ... "
Kim Sang
Dernière modification par kimsang ; 16/05/2010 à 11h01.
Một trái tim hồng tươi, một quê hương tuyệt vời
Giòng máu cha vừa cho, tổ quốc vua Hùng cho
Một trái tim tự do, lời quê hương ta đó
Lời nói cha mẹ cho, lời trái tim tự do
comme je ne sais pas lire le vietnamien, je me demande si "da" est le mot auquel je pense et qui me paraît signifier le "oui" poli.
Si c'est le cas, je l'ai toujours entendu comme un équivalent de "entendu", ou une ponctuation dans la conversation, genre "en effet" ou "certes". ce qui donnerait "certes, mais non..." et expliquerait peut être le "oui non" que tu évoques.
Mais ceci est le témoignage de mon vécu, pas l'information de quelqu'un qui si connaît...![]()
Quelqu'un peut nous éclairer ?
Si cela peut vous rendre service :
US & Coutumes
[LEFT][COLOR=#c0504d]Et si vous venez faire un tour chez moi ! [/COLOR][/LEFT]
[COLOR=#c0504d][COLOR=#c0504d][SIZE=3][FONT=Calibri]- [/FONT][/SIZE][/COLOR][URL="http://khmercanada.voila.net/Tapa/tapa7.htm"][B]VIÊT NAM MẾN YÊU.[/B][/URL] [/COLOR]
bonsoir Agemon,
l'article m'inspire beaucoup ! Merci pour ce partage.
Il semblerait que mes impressions d'enfance ne m'aient pas trompé : "da" dans le contexte en question correspondrait à "oui, mais".
La question posée dans l'article : quelle besoin (si important) de situer l'autre dans une position sociale m'amène à faire quelques hypothèses, liées à une lecture toute subjective... Considérons cela comme un plaisir intellectuel d'élaborer quelques connaissances et d'ouvrir à la discussion, toute aussi amusante (pourvu que les intervenants gardent la tête froide).
Je m'amuse donc, sachant que mon raisonnement est celui d'une personne avec un point de vue limitée à sa propre histoire et à son cheminement et de surcroit influencée par sa culture :
situer socialement l'autre amène à être situé par l'autre : "à quelle place
sommes nous ?" crée un positionnement clair : de cette place, je m'attends à ce que vous agissiez ainsi, et vous pouvez vous attendre que j'agisse ainsi. Les courroies de la vie sociale coulissent en conséquence mieux .
Je pense à une autre dimension : puisque nous nous référons (mon hypothétique interlocuteur et moi) à une place, c'est donc que celle-ci nous est accordée par un autre : pas une personne physique et réel, mais l'autre symbolique, la parole de la Loi qui a un effet de structuration de l'individu et de la société.
Qu'est-ce qui est en jeu ? : ma place actuelle, devant vous, mon interlocuteur, mais aussi ma place dans la lignée ancestrale dont "je" - la personne qui pose la question "que faites vous dans la vie ?" etc - tire un sentiment d'appartenance très fort.
D'indiscrétion, il n'est donc pas question dans ce contexte.
L'enjeu sous entendu est ailleurs et d'importance : le sentiment d'appartenance apporte un sentiment de sécurité intérieure.
bonne soirée
Dernière modification par Vinividi69 ; 16/05/2010 à 21h42.
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