eh bien, je reconnais que je parle comme je suis ..concentrée (après il faut diluer c'est à dire parler à tous) mais difficile sur un forum avec tant de personnes diverses à tous les niveaux (culturels , politiques ,etc..)comme disait ma mère (mais elle parlait de la langue française)on ne sait pas qui parle et à qui..c'est bien le problème ..
juste une piste sur une partie de ce que j'ai dit..de la démocratie.la révolution française a inventé le tutoiement pour tous..contre la hiérarchie..ce tutoiement a été repris par les communistes "camarade tu"..
voilà pour ce que je dis de la fraternité qui est le sens profond de la démocratie et qui aujourd'hui après bien du temps aboutit à ce qu'un président français tutoie le quidam et aboutit à ce que la figure politique du "père" est remplaçé par celui du"frère"(égalité fraternité)(maiscette figure du frère étant par ailleurs connoté différemment par certaines cultures)début de commentaireourquoi ne pas demander d'explications si intérêt il y a ??
autre explication.Aux Etats Unis tout le monde doit cocher sa case d'appartenance raciale , seuls les mexicains disent qu'ils n'entrent dans aucune case.Pourquoi?je laisse un grand poète répondre: (octavio paz)
« Parmi tous les
groupes qui formaient la population de la Nouvelle-Espagne, les métis étaient les seuls à incarner réellement cette société, ses véritables fils. Ils n’étaient pas, comme les Créoles, des Européens qui cherchaient à s’enraciner dans une terre nouvelle ; pas davantage, comme les Indiens, une réalité donnée, confondue avec le paysage et le passé préhispanique. Ils étaient la vraie nouveauté de la Nouvelle-Espagne. Et plus : ils étaient non seulement ce qui la faisait nouvelle, mais autre » (Paz 1982 : 53). Depuis, le Mexique, en tant que nation et peuple, s’affirme et se veut métis, comme l’atteste l’inscription sur la place des Trois-Cultures à Mexico (l’indienne, l’espagnole et la métisse) : « Ici, le treize août mil cinq cent vingt et un, héroïquement défendu par Cuauhtemoc, Mexico-Tlatelolco
tomba au pouvoir d’Hernán Cortés. Ce ne fut ni une victoire ni une défaite, mais le douloureux commencement du Mexico métis d’aujourd’hui. "et voilà slu à toi commandant marcos
les métis ne forment aucun communauté..
ps:j'avais oublié..grave , c'est le "sous commadant marcos" auquel je faisais ref, car bien évidemment il n' y a pas de commandant au dessus..pas besoin de stabylo non?